BREVES INFOS DE L’AIT
Publié le 20 mai 2012
A l’occasion de la journée de solidarité de l’Association Internationale des Travailleurs du 31 mars, voici un rapide tour d’horizon de l’action des sections : NSF-AIT (Norvège) ; participation à la mobilisation internationale de L’AIT du 3I mars, action de soutien au compagnon licencié de Roche en Pologne. CNT-AIT Espagne : outre les luttes lesquelles elle est impliquée, nombreuses participation à la journée d’action du 31 mars (actions, manifestations, piquets, réunions-débat… COB-AIT Brésil ; plusieurs de ces syndicats ont fait des interventions publiques avec distribution de tracts pour la journée. ZSP-AIT Pologne : participation à un rassemblement devant le Parlement (Varsovie) le 29 mars. Le 30 présence à la mobilisation contre la réforme des retraites. Le 31, manifestation à Varsovie (photos) .
La ZSP est également mobilisée contre la multinationale Roche qui a licencié un compagnon. SF-AIT Grande Bretagne ; organisation pour la journée du 31 mars de plusieurs piquets syndicaux à Bristol, Liverpool, Manchester, Londres, Brighton, Clasgow... Partici-pation à la mobilisation de l’AIT contre Rianair. USI-AIT Italie : en appui à son syndicat chez Leroy-Merlin, l’USI dénonce les conditions de travail et appelle au boycott en Italie de cette multinationale. Priama Akcia-AIT Slovaquie : mobilisation contre Rianair. FAU-AIT Suisse conjointement à la FAU-AIT Allemande et à la ZSP actions aux sièges sociaux suisse de ADECCO, ABB, et roche. CNT-AIT France : tables de presse, diffusions de tracts, réunions débats en plusieurs points du pays pour la journée du 31 mars, certains ont prévu des réunions débats. Kras, section Russe de l’AIT : rassemblement à Moscou.
Des nouvelles de la section portugaise (PA-AIT) : présence lors des dernières mobilisations dans un contexte difficile, de peur, de désorientation générale. Malgré les 35 % de chomeurs chez les jeunes l’UGT (syndicat socialiste) signedes « accords de paix avec le gouvernement et le patronat ». La grève générale du 22 Mars a été moins massive que la précédente, mais était marquée par une certaine radicalisation malgré la volonté de la CGT-P (contrôlée par le PC) d’empêcher la présence devant le Parlement de chômeurs et de précaires